n° 34
2016

R  E  V  U  E     I  N  T  E  R  N  A  T  I  O  N  A  L  E    
D  E     P  O  E  S  I  E     E  T     A  R  T     V  I  S  U  E  L
                                     revue La Traductière
  revue internationale de poésie et art visuel
| international
                                                                         review of poetry and visual art
                                     30 Poètes d'aujourd'hui autour du monde
                                     © 2014 - 2016  conception graphique  Linda  Maria  Baros
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L  a    t  r  a  d  u  c  t  i  è  r  e
revue La Traductière, no 34, 2016
format 16 x 22,5 cm
204 pages
Rédactrice en chef : Linda Maria Baros
éDITO
LINDA MARIA BAROS


Prélever la poésie
                     à même l’os



Exfolier l’espace urbain. Non pas pour y trouver des briques, du béton C100/115 autocompactant ou quelque solive.
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S T R E A M I N G   U R B A I N
   La ville, son armature calcifiée

                      U R B A N   S T R E A M I N G
                      The city, its calcified armature

Exfolier longuement son enveloppe véritable, de chair, pour prélever la poésie à même l’os. 15 poètes du monde entier ont accepté de déchirer, lamelle après lamelle, cette enveloppe pour notre revue. Il en résulte le dossier « La ville, son armature calcifiée » sur lequel s’ouvre ce 34e numéro de La Traductière. Comme nous venons de donner le ton, persévérons dans le prélèvement à vif. Sur la jeune vague poétique européenne. La Traductière inaugure sa nouvelle rubrique « EuroPoetry 21 », qui accueille, dans le présent numéro, 3 auteurs marquants de la jeune génération. Ensuite, sur le domaine poétique roumain en République de Moldavie. L’ample zoom que nous y consacrons se présente comme le premier
dossier de poésie contemporaine écrite en République de Moldavie qui soit traduit en français au XXIe siècle. Ouvrir la perspective est – nous l’avons déjà affirmé l’année dernière – notre force portante. Enfin, nous invitons aux prélèvements à vif sur le grand corps des arts visuels d’aujourd’hui et, à travers des notes de lecture, aux incisions critiques. Avant de laisser libre cours au puisement, ajoutons que notre revue poursuit sa reconfiguration entamée en 2015. Cette année, La Traductière devient semestrielle. Dual core poétique.
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3 0  P o è t e s  d' A u j o u r d' h u i
                         
A u t o u r  d u  m o n d e
Françoise Hàn
France
Née à Paris en 1928, Françoise Hàn y vit de façon permanente depuis 1945. Elle a publié, à partir de 1956, une vingtaine de recueils de poèmes, ainsi que des livres à tirage limité, réalisés en collaboration avec des artistes, et des poèmes-collages muraux. Titres les plus récents, publiés chez Jacques Brémond : Un été sans fin (2008), Le double remonté du puits (2011), Ce pli ouvert suivi de Sans fragment de bleu (2015). Livres d’artiste avec Marie Alloy : N’était pas écrit (2012), Une main dans la neige (2015). En 2013, elle a reçu le Prix Dante pour l’ensemble de son œuvre poétique.

Françoise Hàn est collaboratrice de la revue Europe (Paris), titulaire de la chronique poésie des Lettres Françaises (Paris) et membre du comité de rédaction d’Osiris, revue multilingue de poésie (Old Deerfield,
Massachusetts, états-Unis).
Max Alhau
France
Né le 29 décembre 1936 à Paris, Max Alhau a été professeur de lettres modernes et chargé de mission pour la poésie à Paris X - Nanterre. Il a publié une trentaine de recueils de poèmes. Parmi les plus récents :
Hughes Labrusse
France
Agrégé de l’Université, poète, essayiste, Hughes Labrusse est né en 1938. Collaborateur de Inamori Foundation (Kyoyo Prizes) au Japon. Membre du centre régional des lettres de Basse-Normandie (Caen).

Auteur de monographies, d’essais littéraires et de plusieurs recueils de poèmes, dont Précaires (Du-merchez, 2007), Sa tête entre les mains (bilingue français-roumain, traduction de Valeriu Stancu, Éditions Cronedit, 2013, Prix du Salon du livre, Iasi, 2014) et Jonas (Éditions Transignum, 2014), traduit en six langues. Prix Louis Guillaume du poème en prose en 1980 pour Deuil blanc (Rougerie). En 2011, Hughes Labrusse a réalisé une anthologie des poètes du monde pour le jubilé du festival Struga Poetry Evenings, avec le concours de l’UNESCO.
Brigitte Gyr
Suisse / France
Née à Genève, Brigitte Gyr y étudie les Sciences politiques et y pratique en tant qu’avocate. À Paris, depuis 1976, elle exerce comme traductrice (anglais, allemand, italien, espagnol) et anime des ateliers d’écriture. Elle est l’auteur d’une quinzaine de recueils de poèmes, dont Lettre à mon double au fond du puits (1996), Avant je vous voyais en noir et blanc (Prix Claude Sernet 2001), La Forteresse de cendres (2006), Parler nu (Prix Charles Vildrac 2012 de la SGDL), Incertitude de la note juste (Premio di Ligrio, Rome, 2015). Dernier livre traduit : Les Confessions de Tirésias, poèmes d’Andras Gerevich (2014).

Brigitte Gyr écrit également du théâtre, des nouvelles et des livres jeunesse. Elle est publiée en anthologies et ses poèmes sont traduits en plusieurs langues. Actuellement, elle est vice-présidente de l’Union des Poètes & Cie.
Née à Montréal, Denise Desautels a publié plus de quarante recueils de poèmes, récits et livres d’artiste au Québec et à l’étranger, qui lui ont valu de nombreuses distinctions, notamment le Prix du Gouverneur général du Canada, le Prix Athanase David et le Prix de littérature francophone Jean Arp. En 2014, elle recevait, pour la deuxième fois, le Grand Prix Québecor du Festival international de la poésie de Trois-Rivières pour Sans toi, je n’aurais pas regardé si haut. Tableaux d’un parc, alors qu’en 2015 le Prix Hervé Foulon du livre oublié lui a été remis pour son récit autobiographique Ce fauve, le Bonheur. Liée depuis longtemps au monde des arts visuels, elle a travaillé avec de nombreux artistes, et plusieurs de ses livres à tirage limité, réalisés en collaboration, se retrouvent dans des musées et des collections importantes. Denise Desautels est membre de l’Académie des lettres du Québec et de l’Ordre du Canada.
Jacques Rancourt est né en 1946 au Québec et vit à Paris depuis 1971. Docteur ès lettres à la Sorbonne, il a publié plus d’une vingtaine de recueils de poèmes et livres d’artiste. Ses poèmes ont été traduits dans une dizaine de langues et ont fait l’objet de créations graphiques et musicales, ainsi que de films vidéo (en particulier le documentaire Corps et âme, réalisé en 2011 par Jean-Denis Bonan). Il est également l’auteur de nombreux essais et anthologies consacrés à la poésie française, québécoise, africaine, antillaise et haïtienne, ainsi que de traductions de poètes de langue anglaise et espagnole. Responsable du Prix France-Québec de 1996 à 2004, Jacques Rancourt a par ailleurs dirigé pendant plus de trente ans le Festival franco-anglais de poésie et la revue La Traductière, qu’il a fondée en 1983. Parmi ses publications récentes : Veilleur sans sommeil, rétrospective poétique 1974-2008 (2010), Paysages et personnages (2012), Quarante-sept stations pour une ville dévastée/Forty-seven Stations for a Ravaged Town (traduction par Donald Winkler, 2015).
Jacques
Rancourt

Québec / France
Jeanine Baude
France

Écrivain. Elle est née dans les Alpilles et vit à Paris. Prix Antonin Artaud. Prix Lucian Blaga (Roumanie). Parmi ses publications figurent notamment : Le Chant de Manhattan (Seghers, 2006), Emma Goldman, non à la soumission (Actes Sud, 2009), Juste une pierre noire (Bruno Doucey, 2010), Le Goût de Buenos Aires (Mercure de France, 2011), Île corps océan/Isla cuerpo océano (traduction de Porfirio Mamani Macedo, L’Arbre à Paroles, 3e éd. 2013), Aveux simples, avec des encres de Marc Pessin (Voix d’encre, 2015), Soudain (La Rumeur libre, 2015), Œuvres poétiques, tome I (La Rumeur libre, 2015).

Elle a participé à plusieurs anthologies et collabore à de nombreuses revues. En 2014, la revue Phœnix a consacré un dossier à son œuvre.

Shizue Ogawa
Japon
Shizue Ogawa est née en 1947 au Japon. Elle a publié vingt-cinq livres et a réalisé deux CD, de même qu’un DVD. Sa poésie, qui a été traduite dans une dizaine de langues, lui a valu d’être invitée à de nombreux festivals à travers le monde. Elle a reçu le Prix international de poésie Antonio Viccaro 2011 (Canada) et le Gerard Manley Hopkins Society Award 2014 (Irlande).

À ce jour, trois volumes de ses poèmes ont paru en français : en Belgique, Une Âme qui joue, Choix de poèmes (traduction de Michèle Duclos et Jacqueline Starer, À bouche perdue, 2010); en France, Une Âme qui joue, Le cercle (traduction de Véronique Brindeau, Éditions Caractères, 2012) et Une Âme qui joue, L’horizon (traduction de Soraya Umewaka et Michèle Duclos, Éditions Caractères, 2015). Par ailleurs, plusieurs de ses recueils de poèmes ont été traduits en anglais et en roumain.
Yolande
Villemaire

Québec
Yolande Villemaire est poète et romancière. Née dans la région de Montréal en 1949, elle a reçu plusieurs distinctions dont le Prix des Jeunes Écrivains du Journal de Montréal en 1980 pour La vie en prose et la prestigieuse Bourse de Carrière du Conseil des Arts et des Lettres du Québec en 2009. Bénéficiaire des Studios du Québec à New York, à Paris et à Amsterdam, elle a aussi vécu en Inde. Elle a publié, entre autres, les recueils de poèmes Quartz et mica (1985), La lune indienne (1994), Céleste tristesse (1997), D’ambre et d’ombre (2003), L’armoure (2009) et Nuit violette (2015). Ses romans sont traduits en anglais et en italien, ses poèmes en plusieurs langues dont l’anglais, l’espagnol et le néerlandais. Elle est directrice de TOTEMPOÉSIE, atelier sonore et rythmique à géométrie variable fondé en 2007.
Tim Holm
États-Unis / France
Cécile Oumhani est poète et romancière. Elle est l’auteur de plusieurs recueils parus chez Voix d’encre, dont le plus récent s’intitule Temps solaire (2009), aux Éditions de la Lune bleue, Cités d’oiseaux (2011), chez Al Manar, La nudité des pierres (2013), et aux Éditions La Tête à l’Envers, Passeurs de rives (2015). Elle a également publié plusieurs romans, parmi lesquels Le café d’Yllka (Prix littéraire européen de l’ADELF 2009) et L’atelier des Strésor, de même qu’un journal poétique,  Tunisie, carnets d’incertitude. Ses écrits sont traduits dans plusieurs langues.

En 2014, elle s’est vu décerner le Prix Virgile pour l’ensemble de son œuvre. Cécile Oumhani est membre du comité de rédaction de Siècle 21 et collabore aussi à Europe.

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Marlena Braester
Roumanie / Israël
Poète d’expression française, linguiste, traductrice, enseignante, Marlena Braester, née en Roumanie, vit en Israël depuis 1980. Elle est docteur en linguistique de l’Université Paris VIII. Parmi ses recueils de poèmes, on peut notamment citer : aux Éditions Caractères, La Voix, Elle (1993), Absens (1996), Presque v’île (2009), aux Éditions Jacques Brémond, Oublier en avant (Prix Ilarie Voronca 2001), La lumière et ses ombres (2006) et, aux Éditions Vinea, en Roumanie, La culpabilité des angles (2016). Ses poèmes ont été traduits en anglais, hébreu, arabe, roumain, espagnol, italien, portugais, croate, allemand.
Elle est également la traductrice de Benjamin Fondane et d’Amoz Oz, ainsi que de nombreux poètes contemporains.
Marlena Braster est présidente de l’Association des écrivains israéliens de langue française et rédactrice en chef de la revue Continuum. Elle est Chevalier dans l’ordre des Palmes Académiques (2003).
 
Aleš Debeljak (1961-2016), l’un des plus importants auteurs slovènes de sa génération, était poète, essayiste et professeur des universités. Docteur en sciences sociales de l’Université de Syracuse (New York), il a enseigné à l’Université de Ljubljana et, comme professeur invité, au Collège d’Europe (Varsovie) et à l’Université Northwestern (Chicago). Il a publié huit recueils de poèmes – dont Les quiproquos, les changements, Vocabulaire du silence, Les noms de la mort, Minutes de la peur, Comment être un homme – et quatorze livres d’essais.

Aleš Debeljak s’est vu accorder à deux reprises le Prix du meilleur recueil de poèmes slovène et, pour ses essais, le Prix national de la Fondation Prešern. Ses livres sont traduits en quinze langues. En 2001, le recueil Minutes de la peur a été publié en français aux Éditions Domens, dans la traduction d’Andrée Lück-Gaye.
 
Aleš Debeljak
Slovénie
poèmes en original, en français et en anglais
Maram al-Masri
Syrie / France
Maram al-Masri est poète et traductrice. Née à Lattaquié, en Syrie, elle vit à Paris de-puis 1982. Après avoir fait ses débuts en 1984 avec Je te menace d’une colombe blanche, elle a publié huit autres recueils de poèmes, dont Je te regarde (Bourse Poncetton de la SGDL, 2007), Les Âmes aux pieds nus (2009, Prix des Découvreurs 2011 et Prix PoésYvelines des collégiens 2011), Par la fontaine de ma bouche (2011), Elle va nue la liberté (Prix Antonio Viccaro 2013 et Prix Al Bayane 2013), Le rapt (2015). Sa poésie est traduite en treize langues.

En parallèle, elle a traduit les ouvrages Femmes poètes du monde arabe (2012) et L’Amour au temps de l’insurrection et de la guerre. Anthologie de la poésie syrienne d’aujourd’hui (2014). 

Maram al-Masri est Ambassadrice du Secours Populaire et de la Camera Arte de Reggio Calabria en Italie.
Shuhrid Shahidullah
Bangladesh
Shuhrid Shahidullah, né en 1975 au Bangladesh, est poète, traducteur, coéditeur de la revue Shirdanra (Épine dorsale), qui promeut la nouvelle vague littéraire de son pays, et rédacteur associé de La Traductière.

Il est l’auteur de cinq recueils de poèmes : Autobiographie de Dieu (2000), Mes histoires sur les crimes de guerre (2007), Olives, affection et glucides (2012), Le corps omniprésent (2014) et Camp de la mort émergent (2016). Une anthologie de ses poèmes sera bientôt publiée en français dans la traduction de Marilyne Bertoncini. Shuhrid Shahidullah a aussi publié de nombreuses tra-ductions en bengali, dont Lettres à un jeune poète de Rainer Maria Rilke.

Actuellement, il tra-vaille à Dhaka pour l’organisation allemande NETZ qui combat la pauvreté au Bangladesh
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34 / 2016



7 :
éDITO
                par Linda Maria Baros

9 : STREAMING URBAIN
    La ville, son armature calcifiée
                11 : Françoise Hàn (France)
                14 : Max Alhau (France)
                17 : Hughes Labrusse (France)
                20 : Brigitte Gyr (Suisse / France)
                23 : Denise Desautels (Québec)
                26 : Jacques Rancourt (Québec / France)
                29 : Jeanine Baude (France)
                32 : Shizue Ogawa (Japon)
                36 : Yolande Villemaire (Québec)
                39 : Tim Holm (États-Unis / France)
                42 : Cécile Oumhani (France)
                45 : Marlena Braester (Roumanie / Israël)
                48 : Aleš Debeljak (Slovénie)
                52 : Maram al-Masri (Syrie / France)
                55 : Anne Talvaz (France)
                58 : Shuhrid Shahidullah (Bangladesh)

61 : EUROPOETRY 21
               63 : Cédric Le Penven (France)
               67 : Dorta Jagic (Croatie)
               72 : Ivan Hristov (Bulgarie)

77 : DOMAINE ROUMAIN.
                        RÉPUBLIQUE DE MOLDAVIE

                 79 : Nexus
                                 par Linda Maria Baros
                 81 : La poésie en République de Moldavie :  
                         portrait en mouvement
                                 par Arcadie Suceveanu
                 85 : Leo Butnaru
                 95 : Arcadie Suceveanu
               105 : Mircea V. Ciobanu
               115 : Teo Chiriac
               125 : Grigore Chiper
               135 : Nicolae Spataru
               145 : Emilian Galaicu-Paun
               155 : Dumitru Crudu
               165 : Moni Stanila
               175 : Alexandru Vakulovski

185 :
FORCE PORTANTE
               187 : Guillaume Decourt
                         Frédéric Musso : Le Soleil et la Source
               189 : Jean-François Sené
                         Vlada Urosevic : Une autre ville
               191 : Jacques Rancourt
                         Leap

195 :
IMAGE GENERATION
LIRE :

L  A      T  R  A  D  U  C  T  I  È  R  E

     
34 / 2016

Streaming urbain
   La ville, son armature calcifiée

EuroPoetry 21 - les poetes :
               Cédric Le Penven (France)
               Dorta Jagic (Croatie)
               Ivan Hristov (Bulgarie)

Domaine roumain. République de Moldavie
               La poésie en République de Moldavie
             
Force portante
                Guillaume Decourt
                Jean-François Sené
                Jacques Rancourt

Image Generation
D’asile en exil (Voix d’encre, 2007, Prix Georges Perros), Du bleu dans la mémoire (Voix d’encre, 2010), Le Temps au crible (L’herbe qui tremble, 2014), Si loin qu’on aille (L’herbe qui tremble, 2016). Il est aussi nouvelliste - auteur de six recueils, dont La Ville en crue (Amiot-Lenganey, 1991, Grand prix de la nouvelle de la SGDL) - et traducteur de l’espagnol.

Max Alhau est membre de l’Académie Mallarmé et secrétaire général adjoint du PEN Club français.
Denise Desautels
Québec
photo : Olivier Hallard
Né en 1949 au Nebraska, Tim Holm suit les cours de l’Université d’Ohio avant d’obtenir un Master en écriture créative en Angleterre, de même qu’un DEA en lettres modernes à la Sorbonne.
Une fois installé en France, il se consacre aussi bien à la poésie et à la traduction, qu’à l’écriture ou l’adaptation de dialogues pour le cinéma. En même temps, il est parolier et chanteur. Ses écrits traduits en français incluent le recueil The Quiet Sun/Le Soleil calme, traduit par Claude Held – ouvrage dont un choix de poèmes a été publié en 2000 par Carcanet Press –, ainsi que de nombreux poèmes publiés en revues. La traduction la plus récente qu’il a signée, Dentelles d’Art et de Sacré/Sacred Laced Art. Chantpoems de Jean-Claude Cintas, paraîtra en 2016 aux Éditions Comme Unique. Tim Holm a collaboré, en tant que rédacteur associé, avec la Paris Atlantic International Review of Poetry et a longtemps représenté en Europe le Programme international d’écriture créative de la ville d’Iowa. Jusqu’en 2015, il a également enseigné l’anglais au Petit Atelier et la communication à l’Institut Supérieur de Communication et Publicité (Paris).
Cécile Oumhani
France
photo : Philippe Barnoud
                                     revue La Traductière
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Anne Talvaz
France
Anne Talvaz, née en 1963 à Bruxelles, est poète, romancière, auteur de récits de voyage et traductrice. Parmi ses publications récentes figurent notamment : Confessions d’une Joconde suivi de Pourquoi le Minotaure est triste, poèmes (L’Act’Mem, 2010), Ce que nous sommes, récit (L’Act’Mem, 2010), Chronique d’un départ annoncé, récit de voyage (L’Act’Mem, 2010). Nombreuses publications en revues, de ses propres textes et de traductions de poèmes (de l’anglais et de l’espagnol vers le français, du français vers l’anglais). Textes traduits et publiés en : anglais (États-Unis, Écosse), espagnol (Argentine, Mexique), italien, slovène, serbo-croate (Yougoslavie, Monténégro), hongrois, polonais, persan.
Anne Talvaz a vécu en Chine et au Brésil. À présent, elle vit en France.
Festival Poésie Poetry Paris 2016
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Festival Poésie Poetry Paris 2016